aîku :petits poèmes inspirés des samouraÏ

ce qui ne fanes pas prévient l'arrivée du printemps

confier ses secret au diable et découvrire une déesse;

E2=CM, tel est la réponse car un pour toi et tout pout toi

liberté, responsabilité, humeurs et vérité alors se situer là ou bat son coeur.

enterrer une hache et récolter des fruits pour sa douce compagnie

Devenir meilleur sous un regard en coin
et l'habit du moine s'allie à la connaissance.
son silence ne révèle que le cri d'une union sacrée.

Se taire devant l'immensité de la beauté de se que l'on ne connait pas.

Se laisser bercée par l'ivresse de ses pensées les plus profondes et trouver des ailes pour danser.

remercier la personne qui vous fait naitre et récolter quelques fruits

Aimer et trouver la paix, dans le bonheur de l'autre.

l'art est le dictionnaire des mots qui n'existe pas
alors toujours contempler la beauté du silence, ce grand cri d'amour.

ton souffle dans mon cou me fais frémir...

une main dans une main pour former une vision,
un peu comme les deux faces d'une même piece
qui roule dans équilibre du sacré.

devenir meilleur, jour après jour, grace à la grace d'un sourire et de quelques soupirs.

Cultiver , semer des l'heure opportune, ne pas omettre de faire la sieste et récolter à la bonne saison.

une petite araignée chatouille le chemin qui la conduit

Se beigner dans la mer de la tranquilité, parmis toutes les étoiles.

voler sur un nuage et s'allonger sur du coton!

une révélation, un doux echange depuis le fin fond de mes rêves avec la créature qui y habite.

une fin pour un derniere et triste distence alors joindre un ce qui brille

une véritable beauté se révèle dans ce qu'elle contient et en prime parfois sur le reste.

un pied de nez au chemin tortueux et en sourire en guise d'habit

liberté chérie me revoila, et dans mes rèves toujours la même chanson, la mélodie du bonheur!

mille possibilité pour ce qui parait impossible et pourtant ne change pas...

Ce qui change et pourtant ne change pas,
quelquechose de profond et d'ancien pourtant inédit,
chasse la peur et installe sous le regard de la sérénité mélée à la vérité
un nouvel aspect du mot sacré.